Michonze jongle avec différents « ismes » : fauvisme, cubisme, mais c’est le surréalisme qui le marque le plus.
Affirmation d’un style qui deviendra autour de 1934 ce qu’il appellera plus tard « naturalisme surréel »
Après la rupture, une lutte à contre-courant de l’abstraction régnante.
Une surface plus animée et une facture plus large.
Le choix d’une technique mate et l’abandon du vernis impliquent une peinture plus lumineuse…